Et si on arrêtait de croire qu'il y a deux mondes ?
Et si on arrêtait de croire qu'il y a deux mondes ?
Celui des personnes en situation de handicap d’un côté, et celui des autres de l’autre.
C’est une idée qu’on nous glisse dès l’enfance, comme une évidence.
Et elle s’accroche. Elle nous conditionne. Elle freine les rencontres.
Sauf peut-être… si l’on est soignant, éducateur, “formé” à l’accompagnement.
Mais moi, ce que le baskIN m’a appris, c’est qu’on n’a pas besoin de diplôme pour vivre l’inclusion réelle.
Passer une balle. S’encourager. S’entraider. Rire. Perdre. Gagner. Ensemble.
Sans barrière. Sans étiquette.
Le baskIN, ce n’est pas un “sport pour personnes en situation de handicap”.
C’est un sport où tout le monde joue, avec ses forces, ses limites, son énergie, tout son potentiel !
Un sport où chacun trouve sa place. Où la mixité devient une richesse, pas une contrainte.
Un seul terrain.
Un seul ballon.
Un seul jeu.
Un seul monde.